Le pêcheur de la Pointe
Un documentaire de Sérine Lortat-Jacob
52 min I Français
Synopsis
Saint-Tropez, ses 6 derniers pêcheurs sur leurs « pointus » – dont mon oncle Dédé Raggio et son fils Pascal – face aux bateaux de luxe, hauts et aveugles, qui arrachent les lignes de pêche sans se soucier de rien : ni de la mer, ni des poissons, ni de la pêche côtière qui vit grâce à des savoirs affinés par le temps, à l’intérieur de rapports familiaux que le film fera découvrir. Ce film parlera de poissons et se mettra à l’écoute de ceux qui en parlent avec une si belle langue, de Pascal et Dédé, père et fils de sensibilité opposée, et d’Antoine, un fils du pays à qui Pascal va tout apprendre. Alors que Dédé évoque des souvenirs de pêches miraculeuses, Antoine hésite à prendre la relève.
Equipe
Réalisation, image & son : Sérine Lortat-Jacob
Montage image : Carinne Coisman
Prise de vue additionnelle : Pascal Cremades
Prise de son additionnelle : Mathieu Courthial
et Jérémie Van Quynh
Etalonnage : David Chantoiseau
Montage son et mixage : Fabien Lacrouts
Production : Claire Babany & Eléonore Boissinot
Partenaires
Une Co-Production
Dryades Films - France Télévisions (France 3 PACA)
Avec le soutien de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur, du CNC, de la Procirep - Société des Producteurs et de l'Angoa, de Brouillon d'un rêve de la Scam et du dispositif La Culture avec la Copie Privée
Diffusions
France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur "La France en Vrai" : diffusion TV le jeudi 2 février 2023 à 22h50
Rediffusions : vendredi 3 février à 9h10 et jeudi 23 février vers minuit
Visible dans toute la France en replay jusqu'au 5 mars 2023 sur France.tv
La presse en parle
France Bleu Provence (02/02/23) : « Il faut le regarder, et le regarder une deuxième fois, parce que [Dédé] a une façon de parler, de nous raconter les choses… vraiment c’est notre coup de cœur »
Nice Matin (02/02/23) : « Un film poignant, qui parle d’un métier traditionnel (avec un clin d’œil à la fête de la Saint-Pierre) et qui n’oublie pas de poser les questions de son avenir, à travers le prisme d’Antoine »